— édition de février

Le mois de février semble être marqué par l'art. En cette fin de mois, deux événements majeurs sont venus secouer notre ville de Viridian City : l'ouverture de la nouvelle saison des concours de coordination ainsi que l'exposition d'une oeuvre d'art contemporaine au pleine rue.

- OUVERTURE DE LA 100ÈME édition DES CONCOURS DE COORDINATION  - Après la traditionnelle pause de janvier, les coordinateurs de toute la région ont pu se retrouver dans le dôme de coordination sur Heartgold Avenue. Débutants comme professionnels se sont affrontés dans des combats et des démonstrations pleins de grâce et de beauté. Tous ont eu la chance d'être présenté par Cynthia Blum maitresse de la ligue de Sinnoh et animatrice de l'événement. A l'issu des prestations, le jury a pu rendre son verdict. Ce premier concours a été remporté par la coordinatrice @Prudence Soto qui repart avec le premier ruban de la saison. La deuxième place a été atteinte par Omar Blake. Et la troisième place par @Asta Solberg une jeune coordinatrice amatrice qui a à la surprise de tous a su se glisser sur le podium.

- DE L'ART AU GALA  - Suite au concours de coordination, quelques participants et personnalités importantes de la région ont pu se retrouver au Ho-Oh Plaza afin de célébrer le début de la saison lors d'un gala d'ouverture. La soirée s'est ponctuée par une démonstration artistique surprise. En effet, sous les yeux ébahis des invités, une dizaine d'homme se sont changés subitement en métamorph. L'une des convives témoigne : "Je me disais bien que ces hommes étaient étranges, je comprends mieux pourquoi désormais. (...) La soirée a été des plus surprenantes." Les métamorph sont par la suite apparu en masse dans le Plaza et se sont glissés dans la rue. Prenant des apparences aléatoires, vous pouvez encore croiser ces métamorph métamorphosés tantôt en pokémon, tantôt en humain. L'artiste de l'oeuvre, Pablo Garcia, a été convié par la maitresse de la ligue de Sinnoh en personne. Il rappelle à tous et à toutes que ces métamorph ne sont en rien dangereux et demandent à les laisser s'exprimer aussi longtemps que possible. Ce dernier décrit son oeuvre comme "une dénonciation de l'apparence dans une ville consumée par l'orgueil." Son oeuvre appelle le public à regarder au-delà de l'artificiel et à ne pas se fier aux premières impressions.