(fait divers) derrière les masques.

quelques jours après les événements au ho-oh plaza, asta se retrouve chez prudence. les deux jeunes femmes ont eu le temps de se reposer, repos dont elles avaient bien besoin. la cheville de prudence, abimée après un saut par la fenêtre de la chambre 126, se remet petit à petit. désormais prudence peut marcher sans boiter, malgré des ligaments encore sensibles. alors que les jeunes femmes échangent, un troisième protagoniste vient frapper à la porte de prudence. l'homme est brun, grand au visage carré. il se présente immédiatement.
- mademoiselle soto? (...) mesdemoiselles. john prince, sergent à la brigade bleue. j'aurai quelques questions à poser à mademoiselle soto. puis-je entrer?  

Aventure qui s'est bien terminée, du moins c'est que tu penses. T'as vu l'article dans le journal, homme qui était en réalité des métamorphes. Œuvre artistique à la vue de tous, t'y croyais pas vraiment. Quelques jours de repos, parce que l'attaque de l'Alakazam vous a secoué, Prudence et toi. Pâtisserie que tu fais pour elle, un mini charmilly fait maison. t'avais appris qu'elle avait attrapé un crémy. Et puis, de la nourriture ça fait toujours plaisir. Curry que tu prépares pour ses pokémons, parce qu'eux aussi avaient bien le droit à quelque chose. Quelques coups sur la porte de son appartement, un grand sourire sur ton visage. Moment un peu trop calme qui vient d'être perturbé. Nouveau coup sur la porte, un policier qui vient interroger Prudence. Le cœur qui bat un peu trop vite, parce que t'as pas confiance, parce que tu voulais oublier rapidement cette histoire.

La cheville encore dans l'flou, l'esprit un peu embrumé par tout ce qu'il s'est passé. T'essaies de trouver les réponses, tu comprends pas vraiment ce qu'il s'est passé et pourquoi ça s'est passé. Asta qui passe, de la nourriture à foison pour toi et tes pokémons, c'était beaucoup trop gentil et tu savais pas vraiment comment réagir. Sois disant policier qui frappe à ta porte, t'observes, tu te méfies, un peu trop. « Je peux voir votre insigne, votre pokémon et votre numéro de plaque ? » T'étais pas née de la dernière pluie, quelque chose n'allait pas.


{PERCEPTION} | 40 (carte coordination compagny)

- bien entendu (...)
john prince sort de sa poche son badge de service et sort une pokéball. sur la plaque, vous pouvez voir qu'il est inspecteur de la brigade entei. de sa pokeball, il sort un tenefix, pokemon ayant lui-même sa propre plaque numéroté autour du coup. tout à l'air en règle.

Coeur qui bat un peu trop vite lorsque cette personne s'annonce. Un agent de police. Les lèvres que tu ne peux t'empêcher de mordre, le gâteau que tu poses, un regard apeuré que tu lances à Prudence. Tu n'aimais pas ça, t'avais peur de tomber sur un piège une nouvelle fois. Tu suis la coordinatrice, tu restes derrière elle quand elle parle, lorsqu'elle demande de voir l'insigne, d'avoir le numéro, de voir le pokémon qui l'accompagne. C'est ce dernier qui t'intéresse le plus. Ténefix qui porte lui aussi une plaque. Lèvres qui s'étirent légèrement pour montrer que tu n'avais pas peur, pour montrer que tout était normal. Regard qui se pose un peu plus sur le pokémon, comme si tu l'analysais, comme si tu voulais voir quelque chose d'inhabituel sur lui.

{pokéscience} | 30

Plaque, numéro, nom, pokémon avec sa propre plaque. Tout te semble normal, alors tu t'écartes, observes un peu. « Je vous en prie. » Tu vas prendre un cachet, espérant que la douleur s'évanouisse un peu avec le temps, en espérant que tu survives à tout ce bordel. « Qu'est-ce que je peux faire pour vous monsieur Prince ? » Question légitime, t'espères, t'es sur la défensive, mais t'as le regard et les lèvres qui sourient, t'as pas envie d'passé encore une fois par la fenêtre, là ça serait fatale. Le corps qui s'assoit sur le canapé avec ton verre d'eau, tes pokémons bien dans leurs pokéballs dans ton sac, si ça tourne mal tu sais même pas si tu sauras courir.

{GUÉRISON} | 30

le sergent prince remarque le remarque insistant asta sur son tenefix, les sourcils froncés il décide dès lors de remettre la bête dans sa pokéball. finalement, il rentre dans l'appartement de prudence.
- j'aimerai vous poser des questions au sujet de cette... exposition qui a eu lieu au ho-oh plaza. si je ne me trompe pas, vous étiez toutes deux présentes au gala d'ouverture? (...) je me demandais si vous aviez remarqué quelque chose d'inhabituel avant que les metamorph n'entrent en jeu.  

Peut-être que tu l'as regardé un peu trop le pokémon, c'était suspect. Le stress qui te fait faire n'importe quoi, le Ténefix qui n'est plus devant toi, qui est rentré dans sa pokéball. Tu ne saurais donc pas s'il avait quelques choses en particulier. Agent de police qui rentre dans l'appartement, toi tu te tiens toujours près de Prue. L'envie de lui prendre la main est beaucoup trop présente, comme si ça allait te rassurer. Policier qui pose des questions sur cette soirée, sur ce que vous avez vu, sur des choses inhabituelles. Coeur qui bat un peu trop vite, regard qui se pose sur Prudence pour savoir ce que vous deviez faire. Regard que tu poses ensuite sur l'agent avec un léger sourire dessiné sur ton visage. « Comme tout le monde, on a vu ces hommes louches. » Vérité qui est sorti, c'est à cause de ça que Prue pensait qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas, qu'il fallait fuir. Hommes qui s'étaient par la suite transformés métamorphes. Vérité qui n'est pas totalement dites, qui reste encore cachée.

Corps contre le canapé, le visage un peu trop fermé, t'avais du mal à faire confiance depuis ce bordel monstre au gala. Cynthia qui n'était pas là, les hommes louches qui fixaient les entrées et les sorties, le mega-alakazam sorti de nul part, ce bordel était douteux et t'aimais pas en parler. T'irais toi-même voir la police et pas un policier qui venait de nul part pour te poser des questions, tu serais bien allée au poste toute seule, c'était bizarre qu'on s'incruste chez toi. « Ils surveillaient les entrées et les sorties, comme si quelque chose de grave allait se passer. Donc on est parties. On a pas assisté au bordel des metamorphs se changeant en hommes. J'ai eu peur, on aurait dit qu'ils préparaient quelque chose de pas vraiment innocent. Puis rien, on est parties par les cuisines d'ailleurs. » La mémoire qui jouerait peut-être des tours aux gens qui étaient présents, le mensonge trop aisé.

{MENTIR/CONVAINCRE} | 60 + 20 = 80

- très bien.
vous voyez sur la gueule du flic une mine déçue, il aurait espéré plus de vous, ça se voit sur son visage. pourtant, il n'insiste pas.
- je ne vais pas vous déranger plus longtemps. si jamais des éléments vous reviennent, je vous laisse mon numéro personnel. n'hésitez pas à me contacter.
le voilà qui part, aussi vite qu'il est arrivé.  

Vérité qui est à moitié dévoilé. Inquiétude sur ces hommes qui surveillaient l'entrée. Mensonge qui est dit à propos de la façon dont vous êtes sorties de l'hôtel. Cuisine que vous n'avez jamais visitée, contrairement à cette fameuse chambre 126 où il y avait les métamorphes endormis, où il y avait le méga-alakazam. Prue qui est convaincante, agent de police qui la croit, qui semble être déçue par cette réponse. Numéro de téléphone personnel qu'il donne, t'es pas encore rassuré. Tu souris, t'attends qu'il parte, qu'il soit assez loin pour te retrouver complètement seule. « J'ai fait des recherches, j'ai trouvé quelqu'un qui travaille sur les méga-évolution. Peut-être qu'il pourrait nous aider à comprendre pourquoi il y avait ce méga-Alakazam. » Sourire que tu fais, parce que tu avais envie d'en savoir plus. Tu voulais savoir les secrets qui se cachaient derrière le gala.

Policier qui part, s'enfuit, peut-être que t'as fait une erreur, peut-être que t'aurais dû lui dire la vérité rien qu'la vérité, mais tu préférais être dans une agence avec quelqu'un d'autre pour tout expliquer, quelqu'un en qui t'aurais confiance et qui avait pas un pokémon type ténébres de préférence, ça t'arrangerais. Asta qui parle et t'hoches la tête, bandage que tu replaces autour de ta cheville et les béquilles que tu mets sous tes bras. Tu prends les poffins et cupcake qu'Asta à emmener pour les mettre dans ton sac, ça pourrait toujours servir à sudoyer ce professeur laurier, on sait jamais, peut-être qu'il ou elle aura du thé. « On y va, je rappellerai le policier quand je m'aurais fait une opinion sur lui. » Les corps qui bougent, t'es déterminée à en savoir plus.

{GUÉRISON} | 30

Recherche que t'avais faite rapidement, parce que ça t'intriguait cette histoire de pokémon méga-évolué. T'avais entendu parlé de ce phénomène, mais tu ne comprenais pas comment c'était possible. Fallait un dresseur normalement, mais là, il était seul. Information que tu partages avec Prue, peut-être que ça peut vous aider. Elle acquiesce lorsque tu parles du fait d'aller voir ce professeur qui vous aiderait peut-être. Les cupcakes charmilly que vous emporter, une portion de curry aussi, parce qu'on ne sait jamais. Après tout, on dit que la nourriture peut aider à faire parler. Il faudra juste espérer que tu ne t'es pas foirée lors de leur confection. « On y va, je rappellerai le policier quand je m'aurais fait une opinion sur lui. » Sourire qui s'agrandit un peu plus avant que vous ne partiez, chemin qui prend un moment pour aller jusqu'à la forêt de Jade.

vous arrivez à trouver facilement la maison du professeur laurier. il s'agit d'une vieille bâtisse située à l'entrée de la forêt de jade. quelque peu éloignée de la métropole, on aperçoit encore la ville mais la nature se fait sentir. l'air est plus frais, les paysages plus verdoyants, ça fait du bien de se retrouver par (...)
- DÉGAGEZ !
sans prévenir, une peau de baie nanab atterri sur la tête de prudence.
- PARTEZ !
une nouvelle est lancée et atterri cette fois au pied d'asta.
- JE SUIS ARMÉE !
encore une, deux, trois, une véritable pluie d'épluchure de baies en tout genre s'abat sur les jeunes femmes. l'attaquant, une vieille femme sur le balcon du premier étage. elle a installé une table en bois en guise de bouclier et vous attaque à l'aide de ses deux queulorior qui prennent à un malin plaisir à vous prendre pour cible.

PLes corps qui bougent le laboratoire du professeur Laurier en vu, comme une petite bâtisse, l'air déjà plus pur, mais une peau de baie s'échappe, atterri sur ton crâne, les hurlements de la vieille dame comme des insultes, t'aimerais être à ce niveau plus tard. « On vient en paix madame. On a des gâteaux. » Boîte de cupcakes charmilly que tu montres au balcon avant de les prendre contre toi, doucement. « On voudrait discuter des mégas-évolution avec vous, on a vu quelque chose de très bizarre. On fait un échange ? Gâteau contre information ? » Tu proposes, sourire aux lèvres, évitant une nouvelle peau de baie.

{MENTIR/CONVAINCRE} | 60 + 40

Accueil qui sort de l'ordinaire, des épluchures de baies qui sont lancés sur vous. Des queulorior, le professeur Laurier caché derrière une table qui servait de bouclier. Ce n'était pas vraiment à quoi ce que tu attendais. T'essayais d'éviter les armes de fortunes, t'enlevais les épluchures qui restaient coincés dans tes cheveux. Et puis, il y avait Prue qui parle, qui dit la vérité, parler des méga-évolutions contre des gâteaux en échange. T'espérais que ça fonctionne. La vieille femme qui semble y croire, qui accepte à condition que vous ne voliez pas ses chaussettes, sourires qui s'agrandit quand tu lances à regard à la coordinatrice. La porte qui s'ouvre, invitation à entrée à boire le thé. Déception quand tu vois que ce n'est que de l'eau chaude. La vieille femme qui raconte sa vie, ses recherches sur les méga-évolution. D'abord Kalos et ensuite une entreprise. CC, initiale que tu connais, autre regard à Prue, tu vas la laisser parler, lui laisser posé les questions, parce qu'elle sait y faire. Toi, tu regardes la maison, un sourire que tu fais aux pokémons qui vous ont attaqué il y a quelques minutes de cela.

Professeur Laurier. Plutôt mamie laurier, en fait, elle te faisait tendrement penser à ta grand-mère qui commençait à perdre un peu la boule. Cupcakes sur la table et t'écoutes son histoire, attentivement. Les autres pourraient trouver ça barbant, mais les histoires de vies tu trouvais ça passionnant. Tu tiques, pourtant, la CC, coordination compagny ? « CC ? Coordination Compagny ? » Tu demandes, pour être certaine, la carte que tu sors pour lui montrer, cette que t'as trouvé. « Vous pouvez nous dire sur quoi ils travaillent ? Ou juste leur fonction? Pourquoi vous travaillez là-bas ?» Le sourire trop grand, le visage doux, t'aimerais un peu trop savoir. « Vous vous êtes déjà occupé d'un méga-alakazam pour eux ? » Peut-être qu'elle connaissait le pokémon endormi dans la pokéball d'Asta, pourquoi il était si féroce.